Σάββατο 3 Σεπτεμβρίου 2016

Radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité des cancers des voies aérodigestives supérieures : dose de tolérance des tissus sains. Muscles constricteurs du pharynx et larynx

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Publication date: Available online 3 September 2016
Source:Cancer/Radiothérapie
Author(s): P. Graff, V. Woisard, S. Racadot, J. Thariat, Y. Pointreau
Les troubles fonctionnels chroniques affectant le pharyngolarynx ont émergé parmi les effets secondaires radio-induits impactant la qualité de vie des patients atteints de cancer de la sphère ORL survivant à long terme. Plusieurs structures anatomiques impliquées dans le fonctionnement complexe de cette région ont été identifiées. Une limitation de la dose délivrée sur ces structures pourrait contribuer à réduire les risques d'œdème laryngé, de dysphonie et surtout de dysphagie. Quelques recommandations dosimétriques peuvent être émises, comme maintenir la dose moyenne aux constricteurs du pharynx en dessous de 50 à 55Gy, la dose moyenne délivrée au larynx sus-glottique en dessous de 40 à 45Gy et si possible la dose moyenne délivrée au larynx glottique en dessous de 20Gy. Une épargne des muscles du plancher de la bouche et de l'œsophage cervical serait également bénéfique. Néanmoins, la qualité des données bibliographiques ne permet pas de considérer de telles recommandations comme suffisantes. Il est préconisé de retenir une philosophie d'épargne maximale des structures suscitées, la qualité de couverture des volumes cibles tumoraux restant prioritaire.Radio-induced pharyngolaryngeal chronic disorders may challenge the quality of life of head and neck cancer long survivors. Many anatomic structures have been identified as potentially impaired by irradiation and responsible for laryngeal edema, dysphonia and dysphagia. Some dose constraints might be plausible such as keeping the mean dose to the pharyngeal constrictor muscles under 50 to 55Gy, the mean dose to the supra-glottic larynx under 40 to 45Gy and, if feasible, the mean dose to the glottic larynx under 20Gy. A reduction of the dose delivered to the muscles of the floor of the mouth and the cervical esophagus would be beneficial as well. Nevertheless, the publications available do not provide an extensive enough level of proof. One should consider limiting as low as possible the dose delivered to these structures without compromising the quality of irradiation of the target tumor volumes.



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