Publication date: Available online 25 August 2017
Source:Cancer/Radiothérapie
Author(s): G. Ploussard, C. Hennequin, F. Rozet
Plusieurs essais prospectifs ont maintenant validé la surveillance active dans la prise en charge du cancer de la prostate localisé, ce qui permet d'éviter un traitement inutile à beaucoup de patients. Elle s'adresse essentiellement au groupe pronostique à bas risque, comme le préconise par l'American Society of Clinical Oncology (ASCO). Elle pourrait également intéresser les patients du groupe intermédiaire, mais cela reste discuté. Actuellement, la présence d'adénocarcinome de grade 4 est une contre-indication relative à la surveillance active. Ses modalités intègrent un dosage itératif de l'antigène spécifique de la prostate et une nouvelle biopsie systématique dans l'année suivant le diagnostic. La place de l'IRM, à la fois lors de l'inclusion du patient et de la surveillance, a été récemment introduite dans plusieurs recommandations internationales. Enfin, aucune approche comportementale ou médicamenteuse visant à allonger la durée de surveillance n'a, pour l'instant, pas été validée.Several prospective studies have demonstrated the safety of active surveillance as a first treatment of prostate cancer. It spares many patients of a useless treatment, with its potential sequelae. Patients with a low-risk cancer are all candidates for this approach, as recommended by the American Society of Clinical Oncology (ASCO). Some patients with an intermediate risk could be also concerned by active surveillance, but this is still being discussed. Currently, the presence of grade 4 lesions on biopsy is a contra-indication. Modalities included a repeated prostate specific antigen test and systematic rebiopsy during the first year after diagnosis. MRI is now proposed to better select patients at inclusion and also during surveillance. No life style changes or drugs are significantly associated with a longer duration of surveillance.
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